Après notre premier article * qui recensait les nombreux acteurs du document en rapport à notre « Référentiel des métiers », nous allons essayer de les noter ou de les qualifier, autrement dit de leur donner une valeur (plutôt subjective) qui sera reflétée par le choix et l’intensité de certaines couleurs.
Un certain nombre de questions se posent pour les professionnels aguerris, ou les novices, lorsqu’il s’agit de choisir un partenaire/fournisseur de services documentaires :
• Quelles sont les activités documentaires les plus actives, les plus fortes chez ce fournisseur ? Quelles sont celles dont il parait le plus éloigné ?
• Pourquoi visiter un site internet plutôt qu’un autre ?
• Pourquoi adhérer à une association professionnelle plutôt qu’à une autre ?
• Pourquoi être présent à un salon plutôt qu’à un autre ?
• Pourquoi telle entreprise a-t-elle racheté telle autre entreprise : n’y a-t-il pas d’autres possibilités de regroupement, de rachat ?
Les exemples ci-dessous permettent de visualiser la couverture plus ou moins complète, plus ou moins forte des métiers assurés par ces partenaires, autrement dit leur qualification, et peuvent ainsi apporter des réponses aux questions posées.
Cela en fonction du périmètre d’intérêt que vous ou votre entreprise portez à ces questions : périmètres technique, organisationnel, réglementaire.
Autrement dit la qualification va consister à appliquer aux matrices cartographiques précédemment remplies -lors du recensement- une gradation de note d’intérêt et rendre plus visuelle et plus pertinente l’analyse effectuée.
* Cf les 3 premiers articles déjà publiés ici même : « de l’analyse stratégique », « du recensement raisonné des acteurs », et « vous avez dit Dématérialiser ? », éclairages de l’Etude téléchargeable sur ce site.
Alexis Blum, consultant en Ingénieries Documentaire et Editique / Jacques de Rotalier, consultant en Média Imprimé
Exemples de Qualification :
– 1er exemple : « les différences de centres d’intérêts de quelques associations professionnelles de gestion documentaire ».
– 2ème exemple : « les besoins en compétences documentaires dans une entreprise, et les apports possibles de la DSI ».
–> On pourra ainsi apprécier le ciblage de l’apport de compétences complémentaires à réaliser, qu’elles soient ponctuelles ou permanentes.